

Je crois qu’il s’appelait Simon
Dans la calanque de Sugiton
Quand nos deux corps étaient iodés
Qu’on goûtait à nos peaux salées
Je me souviens de toi Clément
Ton sac à dos pour seul vêtement
Ile du Levant libre comme l’air
Mains sur les hanches tu étais fier
C’est dans les bouts de cœur
Les morceaux de mémoire
Que j’emporte avec moi ces divins péchés
C’est dans les dernières heures
Que les paupières sont noires
Que je ramène à moi les garçons de l’été
Carte postale Saint-Saturnin
Signée en bas par Valentin
Mon bel amant du Lubéron
Beauté cruelle sans concession
Rendez-vous sur l’Ile-de-Bréhat
Mon beau marin c’était Sasha
Comme ton ciré on était bleu
Ce doux matin chaud et pluvieux
C’est dans les bouts de cœur
Les morceaux de mémoire
Que j’emporte avec moi ces divins péchés
C’est dans les dernières heures
Que les paupières sont noires
Que je ramène à moi les garçons de l’été
Dans l’Ecusson à Montpellier
J’ai fait l’amour à Timothée
On s‘enfumait nus sur les toits
Sur la Canourgue on était rois
Un dernier stop à La Rochelle
Baisers mouillés avec Daniel
Les doigts rongés entrelacés
Les Francos nous ont fait danser
Tout finit toujours à Paris
Les peines de cœur et le ciel gris
Au coin d’une rue je t’ai revu
Tu ne m’as jamais reconnu
C’est dans les bouts de cœur
Les morceaux de mémoire
Que j’emporte avec moi ces divins péchés
C’est dans les dernières heures
Que les paupières sont noires
Que je ramène à moi les garçons de l’été
C’est dans les bouts de cœur
Les morceaux de mémoire
Que j’emporte avec moi ces divins péchés
C’est dans les dernières heures
Que les paupières sont noires
Que je ramène à moi les garçons de l’été
Que je ramène à moi les garçons de l’été
Je t’aime comme je te déteste
Et j’y reviens souvent
Toi et tes villes modestes
Qui ont recouvert les champs
C’est sûr que tu m’as forgé un peu
J’y ai pas beaucoup été heureux
Mais je te pardonne
Même si t’es conne
Tu resteras ma banlieue
Pour pas dire que je suis pédé
Je me cachais dans les bras
Des jolies filles du lycée
Qui l’ont su bien avant moi
C’est sûr que c’est facile à deux
D’affronter les regards haineux
Et je te pardonne
Même si t’es conne
Tu resteras ma banlieue
J’ai failli y rester
Dans tous les sens du terme
J’ai appris à t’aimer
Comme un vieux western
Je sais que c’est pas vraiment dangereux
Je sais que t’as fait tout ce que tu peux
Et je te pardonne
Même si t’es conne
Tu resteras ma banlieue
Alors quand j’ai voulu
Voir d’autres horizons
Les choses qui m’ont retenu
C’est tes mauvais garçons
J’y ai beaucoup consommé ta beuh
Souvent foulé tes sols crasseux
Pour m’en sortir
J’ai dû partir
Adieu ma banlieue
On se perd dans nos regards de baise
Chauds et pervers, escarpés comme des falaises
Le verre de trop, histoire d’être à l’aise
À découverts, allongés comme sur des braises
J’aime qu’on se brûle au milieu de l’hiver
Qu’on lise en nous comme dans des livres ouverts
La canicule,
Le préambule à nos longues nuits meurtrières
Allez viens vite
Du temps j'en ai assez perdu
Sois mon grand huit
Allô Houston j'réponds plus
J’veux pas mourir sans qu’on ait fait l’amour
Tels des vampires on brûlera comme en plein jour
Nos corps exsangues, on fera pas venir les secours
Nos langues étouffées dans du velours
Deux revolvers chargés à balles réelles
Un fait divers dont la beauté est cruelle
La petite mort ou la grande qui nous appelle
Pas de remords si ça nous emporte au ciel
Allez viens vite
Du temps j'en ai assez perdu
Sois mon grand huit
Allô Houston j'réponds plus
Allez viens vite
Du temps j'en ai assez perdu
L'amour subite
Sous nos doigts collants comme des sangsues
Épuisés nos cœurs à l’unisson
Sur ton échine parcourue d’un frisson
Où je dessine la plus belle des maisons
Je rembobine et j’en ferai des chansons
Allez viens vite
Du temps j'en ai assez perdu
Sois mon grand huit
Allô Houston j'réponds plus
Allez viens vite
Du temps j'en ai assez perdu
L'amour subite
Sous nos doigts collants comme des sangsues
Quand tu t’en vas
Qu’y a ton odeur dans mes draps
Et sur ma peau
Que t’effleures et le café chaud
Trainent sur la table
Les vestiges inévitables
De tout ce qu’on a bu
Pour qu’on néglige nos vertus
Tes yeux obscènes
Et ta musique brésilienne
Font ce qu’ils veulent
C’est chimique, un peu casse-gueule
T’es beau comme le son
Tout en bas naît un frisson
Tu seras en retard
C’est peut-être tôt mais je vais te revoir
J’veux me réveiller à Rio
Au son de ta musique brésilienne
Dans tes yeux où je me sens beau
J’ai pas très peur quoi qu’il advienne
On se voit demain
T’as ramené du Saint-Germain
Qu’il soit tard qu’il soit tôt
Nos baisers ont goût sureau
Je fais pas de chansons d’amour
Mais j’veux dessiner tes contours
Me souvenir de ce matin
Où j’oubliais tous mes chagrins
J’veux me réveiller à Rio
Au son de ta musique brésilienne
Dans tes yeux où je me sens beau
J’ai pas très peur quoi qu’il advienne
J’veux me réveiller à Rio
Au son de ta musique brésilienne
Dans tes yeux où je me sens beau
J’ai pas très peur quoi qu’il advienne
On est déjà hier
Je voudrais savoir quoi en faire
Pourtant je vais vers la lumière
Mais parfois ça ressemble à l’enfer
Et dans ma tête c’est pas très clair
Parce que j’suis fou
J’sais pas si c’est vrai et dans le fond je m’en fous
Mais je sens que ça bout
Et je pourrais être n’importe où
J’ai peur beaucoup
De ne pas y arriver, d’être en manque surtout
Et même quand j’échoue
Je le réalise qu’après coup
On est déjà en hiver
Mon été ressemble à une guerre
Il est passé en un éclair
J’veux pas me reposer sur mes pairs
De toute façon c’est éphémère
De ne pas céder à ma colère
Parce que j’suis fou
Et même si c’est vrai ouais dans le fond je m’en fous
Mais je sens que ça bout
Et je pourrais être n’importe où
J’ai peur beaucoup
De ne pas y arriver, d’être en manque surtout
Et même quand j’échoue
Je le réalise qu’après coup
Alors je joue
Pour retrouver la flamme, pour avoir le goût
D’aller au bout
Pour pas devenir fou
J’ai compris que j’ai besoin d’un beau texte pour faire une belle chanson
J'ai compris qu'une belle chanson c’est des paroles sincères
J'ai compris que dans un groupe de musique on dépend souvent des autres
J’ai compris entre autre que je dois souvent travailler différemment
J’ai compris que si quelque chose autour de moi ne me plaît pas c’est à moi de changer
J’ai compris que les meilleurs moments ne doivent pas toujours être les mêmes
J’ai compris qu’il y a des personnes qui en profitent quand tu les aides
J’ai compris cependant que j’ai besoin des autres, parfois
J’ai compris que je ne sais pas comment ne rien attendre des autres
J’ai compris qu’il y a des instants qui se méritent
J’ai compris que j’aime les émotions immédiates
J’ai compris qu’être amoureux m’a très longtemps éloigné de mes angoisses
J’ai compris que ce qui est bon pour moi n’est pas nécessairement ce que je veux
J’ai compris que vouloir en finir peut aussi être de la lâcheté
J’ai compris que l’agressivité est la mauvaise réponse à quelqu’un ou quelque chose de fermé
J’ai compris que mon avis n’intéresse personne
J’ai compris que vraiment peu d’adultes le sont
J’ai compris que par peur j’essaye de ressentir le moins possible d'émotions
J’ai compris que j’avais presque fait le deuil de mon militantisme
Alors que j'ai compris qu'à mon échelle fallait juste que j’arrête le mutisme
J’ai compris que quand ma santé mentale est au plus bas je rends tout spectaculaire
J’ai compris que je dois sans doute pardonner mon père
J’ai compris qu’en enfouissant les gens ou les souvenirs ils reviennent toujours dans la gueule
J'ai compris qu'on porte dans le sang les névroses de nos aïeuls
J'ai pas compris grand-chose
Et je suis toujours paumé
Le seul truc dont je suis sûr
C’est qu’il faut que j’ose chanter
Le peu que j’ai compris
Pour pas fumer ma vie
Je sais mes névroses
Je les ai identifiées
La lente métamorphose
Un peu plus chaque année
Elle est infinie
Trop souvent ça je l’oublie
J’ai compris des choses
Mais je suis toujours perdu
Mon esprit ankylose
Ce que je croyais avoir su
Lente paralysie
Dans le ventre de Paris
Je sais qu’au final
Je resterai bien maladroit
Face à tous les scandales
Que je provoque malgré moi
C’est toujours pas fini
J’ai encore rien compris
J’ai jamais dansé
J’ai jamais aimé ça
Mais si t’avais demandé
J’aurais peut-être pris sur moi
J’ai jamais osé
Mais je voulais je crois
Malgré mon cœur serré
Exploser contre toi
Accoudés au comptoir
Courage liquide à la main
On a croisé nos regards
J’attendais que tu me prennes par la main
Dans la moiteur du bar
Les corps soûls enivrés par le vin
S’entrechoquaient au hasard
Sans penser, sans penser, sans penser à demain
J’ai jamais dansé
J’ai jamais aimé ça
Mais si t’avais demandé
J’aurais peut-être pris sur moi
J’ai jamais osé
Mais je voulais je crois
Malgré mon cœur serré
Exploser contre toi
J’ai repris un verre
Dans la foule cherché ton visage
Rassuré mon cœur qui se serre
Pour trouver pour trouver du courage
Dans les Picons bière
Je n’ai vu au fond qu’un mirage
Au léger goût amer
Ça tanguait, ça tanguait donc j’ai tourné la page
J’ai jamais dansé
J’ai jamais aimé ça
Mais si t’avais demandé
J’aurais peut-être pris sur moi
J’ai jamais osé
Mais je voulais je crois
Malgré mon cœur serré
Exploser contre toi
Contre toi
Dans la moiteur du bar
Les corps soûls enivrés par le vin
S’entrechoquaient au hasard
Sans penser, sans penser, sans penser à demain
J’ai jamais dansé
J’ai jamais aimé ça
Mais si t’avais demandé
J’aurais peut-être pris sur moi
J’ai jamais osé
Mais je voulais je crois
Malgré mon cœur serré
Exploser contre toi
J’ai jamais dansé
J’ai jamais aimé ça
Mais si t’avais demandé
J’aurais peut-être pris sur moi
J’ai jamais osé
Mais je voulais je crois
Malgré mon cœur serré
Exploser contre toi
Que ça te plaise ou non
Ça tourne pas bien la Terre
Tu sais les cons aussi
Finiront au cimetière
T'as beau être optimiste
Mais tu veux tout masquer
Si tu fais du hors-piste
Tu pourras rien changer
Quand tu marches sur un fil
Tu regardes pas en bas
C’est magnifique le vertige
Mais évite les faux pas
Du berceau à la tombe
Si les dés sont pipés
Tu sais que ta vie est longue
T’as du temps pour changer
Quand tu vois la lumière
C'est pas celle du tunnel
Retirer tes œillères
Pour toi c'est comme un duel
Quand ta peau sera tiède
Demander à la nuit
Même si la pente est raide
Si tu vis bien ta vie
C'est pas si grave tu sais
De voir la vie en bleu
Toujours un beau sourire
Même dehors quand il pleut
T'as jamais pris des risques
Tu veux tout enlacer
Mais tu sais dans la vie
On n’a rien sans payer
Tu n'as jamais triché
Les erreurs de parcours
C'est pas très compliqué
Pour toi faire un détour
Quand ta peau sera tiède
Demander à la nuit
Même si la pente est raide
Si tu vis bien ta vie
Si tu vis bien ta vie
Si tu vis bien ta vie
Les amours sur mesure
Qu’est-ce que tu crois ?
Et la vie sans rature
Qu’est-ce que tu crois ?
Éviter les rayures
Qu’est-ce que tu crois ?
Tout jeter en pâtures
Qu’est-ce que tu crois ?
Et savoir dire je t'aime
Qu’est-ce que tu crois ?
S’interdire le blasphème
Qu’est-ce que tu crois ?
Aimer la vie moderne
Qu’est-ce que tu crois ?
Toujours cacher sa haine
Qu’est-ce que tu crois ?
Amasser de la tune
Qu’est-ce que tu crois ?
Faire l'amour dans les dunes
Qu’est-ce que tu crois ?
Et les plans sur la lune
Qu’est-ce que tu crois ?
Pouvoir vivre sans rancune
Qu’est-ce que tu crois ?
La folie ordinaire
Qu’est-ce que tu crois ?
Et la ville sans lumière
Qu’est-ce que tu crois ?
Ne plus jamais se taire
Qu’est-ce que tu crois ?
Est-ce que nécessaire ?
J’essaierai sans ton aide
De demander à la nuit
Même si la pente est raide
Si je vis bien ma vie
J’essaierai sans ton aide
De demander à la nuit
Même si la pente est raide
Si je vis bien ma vie
Si je vis bien ma vie
Si je vis bien ma vie
Ce soir y a pas de témoins
Si j’ai de la chance c’est pas la fin
Les dents, les poings sont desserrés
Ce soir encore la veuve poignet
Ma vie est tatouée sur les bras
Chacun son costume d’apparat
Les yeux ouverts pendant la nuit
Quand mon cerveau fait de la chimie
Mais c’est une longue histoire
Une longue histoire ouais
Mais c’est une longue histoire
Et il est déjà tard ouais
Mais c’est une longue histoire
Un peu comme un poignard ouais
Mais c’est une longue histoire
Et on n’a plus à boire ouais
La dernière goutte du château d’eau
Quand s’abîmer est un cadeau
Il y aura du temps pour tout
Même sans argent on peut être fou
J’sais même pas par où on commence
À ce niveau-là c’est de la démence
On s’est pas revus depuis si longtemps
Je change encore d’appartement
Mais c’est une longue histoire
Une longue histoire ouais
Mais c’est une longue histoire
Et il est déjà tard ouais
Mais c’est une longue histoire
Un peu comme un poignard ouais
Mais c’est une longue histoire
Et on n’a plus à boire ouais
Sur le trottoir des cigarettes
Soufflant les cendres dans ma tête
Clopin clopant seul dans la nuit
Jure que maintenant tout est permis
Demain la page sera tournée
Même se mentir est validé
J'me demande pourquoi j'raconte tout ça
Cette histoire ne regarde que moi
Mais c’est une longue histoire
Une longue histoire ouais
Mais c’est une longue histoire
Et il est déjà tard ouais
Mais c’est une longue histoire
Un peu comme un poignard ouais
Mais c’est une longue histoire
Et on n’a plus à boire mais
J’en ferai une belle histoire
De cette longue histoire ouais
J’en ferai une belle histoire
En écumant les bars ouais
En deux tu as
Coupé mon cœur
Tantôt pacha
Ou inspecteur
Dale Cooper
Dale Cooper
Femme à la buche
Sexe à toute heure
Le membre dur
Indice erreur
Dale Cooper
Dale Cooper
Je ne sais sur quel pied tomber
Ni sur quelle danse je vais t'attraper
T'es mon homonyme
Ma dualité sublime
Dale Cooper
Dale Cooper
Identités
Le corps en sueur
Toujours café
Mon bel hardeur
Dale Cooper
Dale Cooper
De porn en porn
Les nerfs à fleurs
Sucer les âmes
Laura Palmer
Dale Cooper
Dale Cooper
Je ne sais pas sur quel pied tomber
Ni sur quelle danse je vais t'attraper
T'es mon homonyme
Ma dualité sublime
Je ne sais pas sur quel pied tomber
Ni sur quelle danse je vais t'attraper
T'es mon homonyme
Ma dualité sublime
Dale Cooper
Dale Cooper
Dale Cooper
J’ai voulu m’enfuir
Loin de ce qui m’a déçu
Pour échapper au pire
J’ai même voulu faire croire
Que dans un Londres déchu
J’replongerais pas dans le noir
Encore, encore, encore
Encore, encore, encore
J’ai voulu étouffer
Les voix qui me rapprochaient
De tout ce que j’ai aimé
J’ai même voulu mourir
Je sais pas si je l’aurais fait
J’en n’ai aucun souvenir
Encore, encore, encore
Encore, encore, encore
Du bruit cassé comme un miroir
De mes vies passées dans le brouillard
Encore
J’ai voulu la guerre
Prétendu contredire
Tous les avis contraires
Mais je voulais grandir
Me terrer sous les conifères
Me laisser envahir
Encore, encore, encore
Encore, encore, encore
Du bruit cassé comme un miroir
De mes vies passées dans le brouillard
Encore, encore, encore
J’ai voulu m’accrocher
Aux gens qui ne m’aimaient plus
Que je n‘ai pas su quitter
Encore
Du bruit cassé comme un miroir
De mes vies passées dans le brouillard
Du bruit cassé comme un miroir
De mes vies passées dans le brouillard
Encore, encore
Je suis amoureux de tous mes amants
Je les aime tous indépendamment
Quand on se regarde droit dans les yeux
Je suis prêt à faire un tête-à-queue
Je suis amoureux des accidents
J’ai pas envie de rester prudent
Quand je pense à eux de tout mon corps
Je veux m’éclater dans le décor
Je sais que je fais pas ça pour l’égo
Peut-être que si mais pour ce que ça vaut
Je m’en fous
J’ai décidé de plus être jaloux
C’est pas plus mal quand on a tout
Avoue
Je sais que je t’aime et je t’aime aussi
Je suis polyamoureux transi
Je sais pas gérer mon emploi du temps
Et encore moins le trop plein de sentiments
Alors je me laisse embrasser
Par l’alchimie qui vient nous embraser
Pour moi y a pas de hiérarchie
J’ai dit adieu à ma jalousie
Je sais que je fais pas ça pour l’égo
Peut-être que si mais pour ce que ça vaut
Je m’en fous
J’ai décidé de plus être jaloux
C’est pas plus mal quand on a tout
Avoue
Parfois c’est vrai que c’est pas facile
D’imaginer les garçons qui défilent
Mais si ça marche dans les deux sens
On vit les plus belles des romances
Je m’en fous
J’ai décidé de plus être jaloux
C’est pas plus mal quand on a tout
Le contrecoup
Je m’en fous
J’ai décidé de plus de être jaloux
C’est pas plus mal quand on a tout, Avoue
Je suis amoureux de chacun d’entre vous
Peut-être qu’au fond vous êtes mes garde-fous
Quand je vois le monde dans lequel on vit
Je veux qu’on aime qui en a envie
Immuable
Comme l’Ossau
Les souvenirs de mon enfance
Délectable cacao
Sur les tartines de beurre rance
Tout près des montagnes
Niché en bas des Pyrénées
Entre les Landes et le Béarn
Un endroit où me reposer
Cheveux courts
Et pantalon
Ton argentique en bandoulière
Un bijou
Comme ton prénom
Énigmatique figure de fer
Je me fous des liens du sang
Tu m’as aimé sans conditions
Et tu savais déjà en grandissant
Que j’aimais déjà les garçons
Par la lucarne du bon vieux temps
La caravane attend
Que le vacarme de mes parents
Se calme poliment
Mais par amour on me ment
On partait à l’aventure
En écoutant Brassens
À l’avant de ta voiture
Je me sentais prince
Quand je vis à l’horizon
Loin de l’école et de mes maux
Se dessiner comme une maison
Le Pic du Midi
L’Ossau
Par la lucarne du bon vieux temps
La caravane attend
Que le vacarme de mes parents
Se calme poliment
Mais par amour on me ment
Parce que je suis qu’un enfant
Les odeurs de la cuisine
Réconfortantes comme tes gâteaux
Mon tablier plein de farine
La cheminée
Tes animaux
Tout près des montagnes
Niché en bas des Pyrénées
Bijou des Landes et du Béarn
La grand-mère qui m’adopté
Je suis en colère
Tout le temps
Le goût amer
De mes sentiments
Faut que je les digère
Sans faire semblant
Je suis incapable
Quand je pense trop
Pas malléable
Dans le chaos
Impitoyable
De mon cerveau
Rien à moitié
Même pour le pire
J’aime me noyer
Dans mes souvenirs
Me maltraiter
Jusqu’à en rire
Il faut que ce soit
Spectaculaire
Que ça batte fort
Dans mes artères
Les hauts les bas
Y a rien à faire
Ce sera encore
Spectaculaire
Ma vue se trouble
Je me suis perdu
C’est comme une boucle
Dont je suis mordu
Et je vois double
J’ai confondu
Ce qui me réussit
Ce qui me fait du tort
À chaque souci
Je nique mes efforts
Supercherie
Que joue mon corps
Il faut que ce soit
Spectaculaire
Que ça batte fort
Dans mes artères
Les hauts les bas
Y a rien à faire
Ce sera encore
Spectaculaire
Il faut que ce soit
Spectaculaire
Que ça brille comme l’or
Comme la lumière
Je sais pas faire
Machine arrière
Ce sera encore
Spectaculaire
Ça changera pas
Y a rien à faire
Au fond de moi
Je suis même un peu fier
Je sais pourquoi
Faut que je m’altère
Je suis mort au combat
L’année dernière
Je veux embrasser
La vie, les gens
Pour me prouver
Que je suis bien vivant
Je me suis lassé
De faire semblant
Je vais assumer
Tout ce que je ressens
Il faut que ce soit
Spectaculaire
Que ça batte fort
Dans mes artères
Les hauts les bas
Y a rien à faire
Ce sera encore
Spectaculaire
Il faut que ce soit
Spectaculaire
Que ça brille comme l’or
Comme la lumière
Je sais pas faire
Machine arrière
Ce sera encore
Spectaculaire
Spectaculaire
Je vous suivais partout
Je connais par cœur le quartier
Chacune des ruelles
J’y foule le pavé
Je sais comment grimper
Sur les genoux des filles
Ma couleur caramel
Mes pattes comme des brindilles
Je vois ma vie hauteur de mollet
Sauf que je ne vois plus les tiens
vous vous êtes séparés
Du jour au lendemain
Je connais tous commerçants
Qui ne vous voient plus ensemble
Et j’évite les enfants
Tout mon corps en tremble
Quand le ton se durcit
Entre vous parfois
Là je me blottis
Caché, aux abois
Et je vois ma vie hauteur de mollet
Sauf que je ne vois plus les tiens
Vous vous êtes déchirés
Et moi je ne suis qu’un chien
J’ai pas la notion du temps
Mais je me souviens
Des copains, des gens
De toi Sébastien
J’ai pas trop compris
Et ce qu’il me reste de toi
Depuis que t’es parti
C’est ce bandana
Je vois ma vie hauteur de mollet
Sauf que je ne vois plus les tiens
Depuis mon panier
De vous je n’en vois plus qu’un
Exit la morale
Désir animal
La fumée nous brouille
Ta sueur me trouble
Sexe sans compromis
Pas besoin de lit
Épicentre sang
Au plus près du ventre
Morsure en murmure
Fluides en filature
Les peaux brillent humides
Nos retenues se rident
Les corps nous dominent
La stamina ravine
Nos envies se confessent
Quand nos langues se tressent
Ouais
Ouais
Ouais
Ouais
J’te baise en athlète
Que t’en perds la tête
À l’affût des signaux
De la peau
Sub top critique
Nos formes s’habitent
Vortex en cosmos
Toi et moi en osmose
Lit cassé
Rien n’arrête
Les endorphines en fête
Mécanique sublime
Et cadencée
Comme une bête je O
Le cerveau sans mots
Tétanie divine
Nos baisers protéine ouais
Ouais
Ouais
Ouais
Ton corps est mon antre
Folle contre romance
Notre feu si dense
Met l’univers en transe
Touché-coulé
Membre adhésif mouillé
L’ADN dé-stresse
Futur sans promesses
Abrasive récidive
Quand ta langue me caresse
Mémoire vive en alerte
Les offrandes se dressent
Centimètres habités
Bas ventres appliqués
La brûlure de l’aube
Dévoile comme je bande
Je coule, tu fonds
J’en oublie ton nom
Élixir opaline
Quand on baise platine
Ouais
Ouais
Ouais
Ouais
J’ai plus rien à leur dire
J’me cache dans les sourires
J’empile dans ma main
Les verres et les soupirs
Sur le point de partir
Jusqu’à ce que je sente
Plus rien
Il est même pas encore minuit
Quand tu t’en vas
Je me souviens plus
Si je t’ai suivi chez toi
C’est pas mes habitudes
T’y crois pas et j’élude
J’ai pas foule d’amants
Moi j’aime ton attitude
Ta silhouette un peu rude
M’enflamme
Éperdument
Il est même pas encore minuit
Quand tu m’embrasses
Je me souviens plus
Si tes caresses me lassent
Même si du cœur j’en ai plein
Peur que ton corps me fasse rien
Y’a ton regard qui m’brule
tendresse
Si du courage j’en ai pas
Cet amour-là je sais pas
Malgré les ardeurs que tu
dresses
Je cherchais à survivre
Au frisson du désir
Épiderme chagrin
Je suis rentré solo
Je me sentais de trop
Noyé dans ce matin
Il est même pas encore minuit
Quand on se quitte
J’ai rien compris
Tout est passé si vite
Même si du cœur j’en ai plein
Peur que ton corps me fasse rien
Y’a ton regard qui m’brule
tendresse
Si du courage j’en ai pas
Cet amour-là je sais pas
Malgré les ardeurs que tu
dresses
Je dégueule ma tristesse
Les émotions en laisse
Trompe-l’œil solitude
Rugueux ton souvenir
Irréel plaisir
Petite mort sans prélude
Il est même pas encore minuit
Quand tu t’en vas
Je me souviens plus
Si je t’ai suivi chez toi
J’voudrais quitter le bleu d’l’écran
À me voir grand dans le miroir
Et arrêter d’me décevoir
Corps immobile dans l’océan
Mon âme fébrile à chaque
instant
Je cherche une île pour te
revoir
Le cœur panique de la noyade
Gâcher mon fric pour ce voyage
Qu’on s’était promis
Notre première nuit
Sans gouvernail
Mouiller ton rivage
Sans risque de faille
Embrasser ton visage
Matelas froissé lèvres arrosées
Vouloir ta joie te faire mon roi
La lune éclaire ton mât parfois
Je naviguerais vers sa beauté
De vagues en vagues pour t’approcher
Matelot facile empreinte fragile
Souvenir qui nous a frappé
Geste fou de contrebandier
Qu’on s’était promis
Notre première nuit
Sans gouvernail
Mouiller ton rivage
Sans risque de faille
Embrasser ton visage
Sans gouvernail
Mouiller ton rivage
Sans risque de faille
Sombrer dans les mirages
L’horizon reste toujours loin
De ta peau j’oublie le grain
Amer mystère d’un amour bref
Cartographie continent tristesse
Torse brûlé chemise salie
J’étais parti sacrifier ma nuit
Larmes salines de ton emprise
Pour que ton charme enfin s’épuise
Celui qui me hante
Que maintenant je chante
Sans gouvernail
Mouiller ton rivage
Sans risque de faille
Embrasser ton visage
Sans gouvernail
Mouiller ton rivage
Sans risque de faille
Sombrer dans les mirages
Je me réveille seul à seul
L’appli qui sonne et qui aboie
Miroir sali, cheval de Troie
Toujours là à revoir les mêmes gueules
Babylone au bout des doigts
Amant vassal, beautés fatales
Attentat
Tracer les étreintes et les corps
Labyrinthe et Minotaure
De cinéma
Hurlant karaokétamine
Le sang à feu térébenthine
M-Défoncé, je t’aime GHB
Dans ce narco-pensionnnat
Palais papier, galet para
Coma, pupilles sans éclat
Quitte à niquer, moi j’étais piqué
Ah j’étais fou de 3
Voile déchiré, shot réalité
Voile déchiré, shot réalité
Et ouais qu’est-ce que je fous là
Je deviens fou
« Leurs jambes plièrent et ils se retrouvèrent par terre à marcher sur les mains et sur les genoux, leurs bras se transformèrent en pattes, leurs visages s’allongèrent pour devenir museaux et leurs dos se couvrirent d’un pelage gris. Vaincus par la honte et la douleur, ils tentèrent, face à la cruauté de leur destin, de se plaindre et de gémir.
Ce ne fut que des braiments d’âne. »
Je deviens fou
J’marche dans les rues érodées par la nuit
Désespoir solitude en recherche de vie
Dep sans famille, même pas celle qu’on choisit
Foire trop rude, t’es trop prude et qui sont tes amis
À force de nous dire qu’on est bons qu’à baiser
Épidémie chimique on est bons qu’à se droguer
J’suis qu’un buvard de mon époque
De mercredi à dimanche
Orphelinat pour tes potes
Supercherie étanche
Canapé lit défait
Néon vert d’hôpital
Overdose des effets
Dans mon cœur en cristal
Y pas que les bons et les mauvais pédés
Ouvrons un peu les yeux parce qu’on nous laisse crever
Manque d’amour, solitude, ou par précarité
Tellement peur du jugement
Que j’ose même pas en parler
Marathon vertical
Abandon colossal
Dans le fond ce que je voulais
C’était qu’on me trouve spécial
Une soirée comme une autre
Toi et moi on sait
Qu’on n’y va pas que pour les potes
Boire, fumer et danser
Et que si tout va bien
Que l’alcool noie la gêne
Que les étoiles s’alignent
Y a bien moyen qu’on s’aime
Anthony ça prend pas
Émilie second choix
Sur l’instant c’est gênant
Pourtant ça marchera un temps
Il y a Tom, il y a Claire
Il y a Anthony
Il y a toi qui m’enserre
Moi je ne vois que lui
La nuit tombe on s’écarte
Dévoiler nos mystères
On s’éclipse on s’enfuit
Une tente fera l’affaire
C’est pas fou mais c’est bien
On verra demain
Première fois et c’est toi
Mais c’est plutôt lui je crois
C’est rapide et brouillon
Un peu trop malhabile
Et j’entends qu’on rigole
Pendant qu’on se rhabille
J’ai compris mais trop tard
Qu’on nous a découverts
Et je cherche Anthony
Disparu avec Claire
Anthony ça prend pas
Émilie second choix
Sur l’instant c’est gênant
Pourtant ça marchera un temps
C’est pas fou mais c’est beau
On verra bientôt
C’est pas toi et c’est toi
Mais c’est plutôt lui je crois
Sept heures premier joint je
mérite si je veux
Le ciel fulmine sur le Vélux pluvieux
Changer de monde
En une seconde
Je suis encore rentré dans un tunnel
Mon corps émacié placé sous tutelle
Buté au sport
Tromper la mort
Mais mon lithium c’est vous
N’aviez qu’à pas être taillés pour moi
Me sortir de ma boucle
Y’a que vous qui savez faire ça
Je dépense tout ce que j’ai
alors que j’ai rien
Pas la patience d’attendre qu’on soit demain
Bonheur facile
Le temps défile
J’fais de la musique pour un temps ça m’apaise
Thérapeutique c’est un peu comme la baise
Pour la passion
Pour le frisson
Mais mon lithium c’est vous
N’aviez qu’à pas être taillés pour moi
Me sortir de ma boucle
Y’a que vous qui savez faire ça
Mon lithium c’est vous
N’aviez qu’à pas être taillés pour moi
Me sortir de ma boucle
Y’a que vous qui savez faire ça
Essoré épuisé 1200 tours
Je revis sans cesse les mêmes
histoires d’amour
Échappatoires
J’veux tout avoir
Cerveau qui bout impossible de dormir
Je regarde en boucle toujours
les mêmes séries
Je m’enfume
Ma tête enclume
Mais mon lithium c’est vous
N’aviez qu’à pas être taillés pour moi
Me sortir de ma boucle
Y’a que vous qui savez faire ça
Mon lithium c’est vous
N’aviez qu’à pas être taillés pour moi
Me sortir de ma boucle
Y’a que vous qui savez faire ça
Parti au petit jour
Si petit qu’il fait nuit
Je fais un long détour
Après toi je vais à lui
J’ai pas les idées claires
J’ai encore les poils qui collent
Et par un grand mystère
Le désir qui décolle
Une fin d’été poisseuse
Faite d’amour et de guerre
Et des nuits délicieuses
Comme on n’en fait plus guère
On m’a bien élevé
J’arrive avec des croissants
Viennoiseries beurrées
Et éclair ardent
Y a bien que les concierges
Et leurs regards biaisés
Qui savent qu’au petit dej
On peut aussi baiser
Sur le pas de la porte
Je tremble un peu
Tendu mon short
Vers ton pieu
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Fin d’aprèm à la plage
Sur le sable brûlant
M’en faudrait du courage
Pour te dire ce que je ressens
Tu te lèves nu
Tu marches jusqu’à l’eau
Je matte un peu ton cul
Comme toi il est beau
Et puis tu reviens à moi
Et de toute ta superbe
Tu m’entraines avec toi
Cachés dans les hautes herbes
Et dans nos souvenirs
D’un désir canicule
Qu’importe les soupirs
Tant qu’on s’émule
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
J’transpire Niagara
À la salle de sport
Sur ton tapis je te vois
Redoubler d’effort
On s’était déjà vus
Et le corps avait parlé
C’était qu’un aperçu
De ce qui nous fait vraiment mouiller
On se matte comme des fous
Quand on se change dans le vestiaire
On parle de rien de tout
En vrai on n’en a un peu rien à faire
On retourne chez moi
Puis en moins d’une seconde
On fait l’amour sous les toits
Soudain le tonnerre gronde
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Mon amour ne m’en veux pas
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
Si j’en aime d’autres c’est que pour toi
J’peux pas croire que j’ai fait
Le premier pas
Tu me fais un effet
Nirvana
Tu fais de moi un vrai soldat
J’ai peur que sous tension
Tu n’oses pas me dire non
Faut pas que mon envie
Prenne le dessus
Je guette le désir
Attendu
N’importe quel signe
De bienvenue
On se dit trop souvent oui
On est là c’est acquis
Comme t’es beau
Oho
Je te demande avec les yeux
Avec des mots
Velcro nerveux sans gestes vains
Si on ne peut faire plus qu’un
Dans le chaos
À nous aimer en
Anonymes
Milliers d’amants
En synonymes
Besoin constant
Sérotonine
Pilote automatique
Toujours les mêmes physiques
Faut pas que mes caresses
Soient de trop
Si ta garde baisse
Que tu prends l’eau
Que tu sens naître
Les signaux
On se dit trop souvent oui
Juste une règle de survie
Comme t’es beau
Oho
Je te demande avec les yeux
Avec des mots
Velcro nerveux sans gestes vains
Si on ne peut faire plus qu’un
Dans le chaos
Je peux pas croire comme t’es beau
Oho
Je te demande avec les yeux
Avec des mots
Velcro nerveux sans gestes vains
Si on ne peut faire plus qu’un
Dans le chaos
Il s’avère qu’on parle
La même langue
Revolvers et balles
Foudroyants
Que ça soit beau, sale
Et violent
La chimie sans effort
Nos cœurs dans le même décor
Je connaîtrai jamais
Ton prénom
Juste le goût sucré
De ton front
Que je voudrais garder
Pour de bon
Ton plaisir en boussole
Survivre au protocole
Comme t’es beau
Oho
Je te demande avec les yeux
Avec des mots
Accro comme à un dieu ancien
Velcro sensible sans geste vain
Si on ne peut faire plus qu’un
Dans le chaos
Je peux pas croire comme t’es beau
Oho
Je te demande avec les yeux
Avec des mots
Accro comme à un dieu ancien
Velcro sensible sans geste vain
Si on ne peut faire plus qu’un
Dans le chaos
Je me sens pas à ma place
Avec tout ce qui m’entoure
J’attends que ça passe
Des mois des jours
Quand t’es pas là
Le monde a l’air un peu soûl
Des vies à fleur de peau
Heureusement il y a nous
Dans ce château
Qu’on s’est bâtis
Avec nos maux
Quand la ville nous malmène
Qu’on subit ses à-coups
On se réfugie sous les chênes
Le cœur en joue
Aux prédateurs
Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Montée des eaux
Me laisser être moi
Cœur bunker dans la peau
Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Marée velours
Me laisser être moi
Cœur bunker sans détour
Arche dans la tempête
Ne garder que la tendresse
Si du courage on se prête
Vous êtes
Mes fusées de détresse
Voir la fin des temps
La vivre comme un poète
Au diable l’or et l’argent
Alors que mon cœur est comète
Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Montée des eaux
Me laisser être moi
Cœur bunker dans la peau
Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Marée velours
Me laisser être moi
Cœur bumper sans détour
Montée d’amour
Montée des eaux
Marée velours
Montée d’amour
Ô montée d’amour
Montée des eaux
Ô Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Montée des eaux
Me laisser être moi
Montée d’amour
Forteresse sparadrap
Montée d’amour
Quand tu ris aux éclats
Marée velours
Se laisser être nous
Montée d’amour
Ô Montée d’amour